Le baromètre e-shopper 2018 de DPDgroup est sorti !

Par Mathilde B.
— Jan 25, 2019


Pour la troisième année consécutive, DPDgroup révèle l’évolution des habitudes des européens en termes d’achats en ligne. C’est l’étude la plus représentative menée à ce jour sur l’e-commerce car elle interroge plus de 24 000 e-acheteurs de 22 pays d’Europe.

Le baromètre e-shopper 2018 de DPDgroup est sorti !

L’occasion de pointer ou d’affirmer certaines tendances du commerce en ligne.

 

En ce qui concerne la marchandise, toutes les catégories se maintiennent avec une progression notable pour les aliments frais et les boissons, ainsi que des points gagnés pour le petit ameublement et la décoration, les produits high-tech et les produits de beauté. Une fois encore, la mode est la catégorie la plus prisée en termes de taux de pénétration, de fréquence et volumes d’achat dans la plupart des pays. 55% des e-acheteurs ont commandé des articles de mode et des chaussures depuis le mois de janvier et 85% de ceux qui l’ont fait sont prêts à recommencer.

 

DPDgroup, numéro 2 de la livraison de colis en Europe, mène cette large enquête, afin d’être au plus proche des e-consommateurs, pour améliorer perpétuellement son savoir-faire mais aussi pour partager les tendances les plus récentes dans une logique d’open innovation.

 

S’il n’y en avait que 3, voici les leçons à retenir :

  • L’augmentation des achats en ligne sur les sites étrangers,
  • Le développement du commerce mobile,
  • La vision positive que les e-acheteurs ont de leur expérience en ligne.

 

Ainsi que les points à améliorer ou à prendre en compte :

  • La demande croissante de sécurisation des transactions,
  • Le souhait de connaître le nom de l’entreprise au moment de l’achat
  • Les retours et abandon de panier inhérents à l’expérience d’achat en ligne.

 

Ce dernier point d’abandon de panier et des retours font partie prenante du e-commerce. Pas de quoi se vexer puisque 90% des e-acheteurs interrompent leurs commandes, pour diverses raisons : temps de réflexion, comparaison des prix, examen des options de livraison, etc. Cependant, 41% d’entre eux reviennent à leur panier et finalisent le paiement ! Il faut donc veiller à ce que les cookies d’un site internet laisse inchangé le panier du client lorsqu’il reprend son achat.

 

Le nombre de retours, passé de 5 à 10% en un an, est symptomatique d’une attitude « lèche-vitrine » mais aussi peut-être d’une plus grande facilitation dans les processus d’achat en ligne, c’est-à-dire que le processus devient naturel pour de plus en plus de personnes, s’intégrant à leurs habitudes comme ils l’ont toujours fait jusqu’ici dans les magasins physiques. Ces comportements deviennent des opportunités pour prendre contact avec les consommateurs et apporter des preuves de réassurance en améliorant toujours plus leur expérience y compris pour les retours quand il est si simple d’acheter en un clic.

 

C’est pourquoi 72% des internautes veulent connaître le nom du transporteur au moment de leurs achats. Un souhait du à une précédente expérience, bonne ou mauvaise, mais également une volonté d’avoir le choix entre plusieurs entreprises de livraison. Cette offre multiple faciliterait la décision d’achat et génèrerait de la satisfaction client. En effet, ce chiffre monte à 81% lorsqu’il s’agit des acheteurs réguliers.

 

Les acheteurs réguliers représentent le tiers supérieur de tous les e-acheteurs et effectuent 86% des achats en ligne : ils ont reçu 6 colis au cours du mois précédent et 71% d’entre eux ont commandé à l’étranger. La plupart du temps ce sont depuis des pays voisins et sur des sites chinois que les e-acheteurs trouvent des pépites à prix coûtant chez eux, car parmi ceux qui n’ont jamais acheter en ligne à l’étranger un tiers envisage de le faire.

 

58% des acheteurs réguliers ont utilisé un smartphone pour acheter en ligne et plus généralement 46% des e-acheteurs. Le commerce mobile est donc l’occasion pour les vendeurs en ligne de faire preuve de créativité pour se développer en créant des applications vraiment utiles et facilitatrices d’échanges, en veillant à l’ergonomie des sites adaptée au mobile, et bien sûr en cultivant une bonne image sur les réseaux sociaux pour inspirer l’achat impulsif.

 

Un autre chiffre à ne pas sous-estimer : 20% des acheteurs réguliers sont de nouveaux acheteurs.

 

Les nouveaux acheteurs commandent en ligne depuis moins de 2 ans et représentent 15% des e-acheteurs. Très actifs sur les réseaux sociaux, ils veulent de l’ergonomie et de la fluidité dans leur expérience d’achat sans pour autant oublier la sécurité des paiements. Chez eux, les retours sont fréquents mais les programmes de fidélité très apprécié. Ce qui est une bonne nouvelle pour multiplier les tentatives car si la moitié d’entre eux sont des acheteurs réguliers, ils restent donc une importante source de dynamisme pour le marché de l’e-commerce. D’ailleurs 53% des nouveaux acheteurs sont des millenials de plus en plus exigeants.

 

Dans une époque de prise de pouvoir du client, DPD explore et recherche afin que le destinataire soit acteur de sa livraison tout autant que l’expéditeur. Pour cela, le groupe combine des technologies innovantes et un savoir-faire local. Avec son service Predict, DPDgroup veut établir de nouveaux standards de services simples et flexibles où le client est au cœur du processus de livraison.

 

Retrouvez l’étude en intégralité ici.


Les fondateurs